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Date de création : 25.10.2011
Dernière mise à jour :
01.10.2021
4041 articles
bienvenue dans mon blog
- Papa ? Tu crois que Bat man et Spider man ils vont venir tuer le Corona ?
Mars 2020. Du haut de tes presque 5 ans, tu es en train de vivre un sacré morceau d’histoire mon fils.
Nos héros du moment portent des gants et un masque, mais pas de cape.
Nos héros sont sur le front pour essuyer d’autres fronts.
Nos héros sont capables de soulever des montagnes... de packs d’eau, de pâtes, de papier toilette.
Nos héros ne se battent pas contre des monstres tout vert. Ils se battent pour montrer que « c’est ouvert »
Nos héros ont trop souvent été invisibles.
À notre tour de l’être en appliquant à la lettre le seul moyen d’amoindrir la bête.
S’en sortir. Sans sortir.
- Mais ça veut dire que je ne pourrai plus aller à l’école ?
Bientôt mon fils, je l’espère. Pour les grands aussi c’est difficile, tu sais. Mais tu es ce repère.
Il n’y aura pas eu de Printemps de Bourges, mais un printemps de barge.
On nous a demandé d’éviter les restaurants. Et l’on nous a demandé de voter. On nous a demandé de rester en rang. Et l’on a voté.
Dans ce flou, certains sont devenus fous.
Médisant le « allons enfants de la patrie », le remplaçant par « allons faire le plein de pâtes-riz ». Pour 10 ans.
Depuis, on suit les consignes. On se confine.
Se terrant. S’enterrant. Applaudissant chaque jour à 20h ceux qui sont sur le terrain.
On découvre un nouveau climat, l’anxiogène. Ce sale temps où l’on manque d’oxygène.
Mais on suit les consignes. On se confine.
S’en sortir. Sans sortir.
- Papa, celui qui nous a demandé de rester sage à la maison, ce serait pas le Père Noël ? Il a oublié de se peindre un bout de barbe !
Ah non mon fils. Lui, c’est l’état providentiel. Ce sont les promesses et l’espoir.
Un grand moment de rassemblement où l’on nous parle... de grand enfermement.
On attend patiemment le discours de la victoire. Et on compte les défaites. On se sent de moins en moins le cœur à faire des fêtes. Mais on est toujours là, c’est une victoire.
Et encore un autre discours présidentiel. Encore des promesses. Des promesses. Quelle messe de pro !
« Ne vous inquiétez pas, ce dur printemps ne durera que pour un temps.
Et surtout suivez les consignes. On se confine ».
S’en sortir. Sans sortir.
- Mais Papa, la dame dehors avec son caddie, elle va mourir alors ? Ça fait quoi quand on a le Corona ?
Des drôles de symptômes. Parfois on ne sent plus rien mais on se sent mal. Et l’on tousse.
Un teint de fantôme, un peu mal partout et une fièvre anormale. Parfois ces symptômes on les a tous.
Alors arrive sur la poitrine comme un parpaing qui ne part pas. On perd son souffle et on souffre.
Mais ne t’inquiète pas mon ange, c’est seulement chez les plus grands, que les symptômes sont plus grands. Vous, les enfants, vous pouvez l’avoir sans le voir.
C’est aussi pour cela que l’on vous garde. Pour ne pas que vous le transmettiez par mégarde.
Ne t’inquiète pas, il n’arrivera rien. On suit les consignes. On se confine.
S’en sortir. Sans sortir.
- Papa, tu ne m’as pas répondu pour la dame...
Mon fils, autant je ne suis personne pour le savoir, autant personne ne le sait.
Pourtant, j’ai bon espoir qu’un savant de Marseille trouve le remède. Pour autant il faut continuer avec le savon de Marseille.
Mais tu sais, cette crise sanitaire pourrait être aussi une crise salutaire.
Il y avait un temps pour les déclarations, il y a désormais un temps pour déclarer « Action ! ».
Si l’on cessait de gaspiller cette Terre, et l’on se contentait de garder les pieds sur terre.
Si l’on comptait enfin sur les gens, au lieu de se laisser conter par l’argent.
Si l’on pouvait comprendre qu’être humain, c’est aussi savoir tendre une main.
Ce virus, c’est peut être un signe. Les chances sont peut-être fines.
Mais j’y crois.
Sans sortir. S’en sortir. Grandi.
- Tu sais papa, je suis pressé de reprendre l’école. Mais même si tu travailles beaucoup, je suis trop content de passer encore la journée près toi demain. Bonne nuit papa.
Bonne nuit fiston.
J’aurais aimé pouvoir te dire tout cela de vive voix au lieu de me contenter de réponses évasives. Mais tu es si petit.
J’espère que tu ne souviendras pas de cette atmosphère pesante.
J’espère que tu rappelleras de ce moment comme celui où tu as appris à jouer au Uno et à compter en anglais. Que tu garderas en mémoire aussi toutes nos constructions en Lego ou en pâte à sel.
Et aussi des supers omelettes de Papa.
Ne t’inquiète pas tout ira bien.
On finira par s’en sortir. Sans sortir.
Mr le Président,
C’est avec émotion dans le plus grand confinement que je me permets de vous écrire cette lettre, que vous lirez peut-être, à moins que qu’un de vos conseillers ne la jette au panier, mais en même temps cela ne fera rien au contenu dont je souhaite vous faire part
L’épidémie fait rage dans notre pays et sur le sol de la patrie, ce sont des milliers et des milliers de femmes d’hommes et d’enfants qui vont y laisser une vie parfois à peine commencée, comme cette jeune fille de seize ans jeudi 26 Mars.
L’épidémie fait rage dans le monde, et ce sont des centaines de milliers et de millions d’êtres humains dont la vie sera volée dans la période sans que « nous n’y puissions rien ».
Chez nous, vous avez décidé coute que coute, de ne rien faire de très sérieux depuis fin Janvier, obnubilé par des élections locales dont le résultat n’a aucun sens compte tenu du contexte dans lesquelles elles se sont déroulées. Un ami à moi qui était accesseur dans un bureau de vote vient de décéder du covid, 17 jours après avoir fait son devoir, parce comme vous disiez il n’y avait « aucun risque ». Mon ami de 50 ans ne peut pas vous en tenir rancune. Moi si.
Chez nous, alors que ma fille qui est infirmière était en grève mais continuait de soigner aux urgences dans son petit hôpital de sous-préfecture, Je dois vous avouer aussi qu’elle et ses collègues défilaient souvent dans les rues à grand bruit pour obtenir des moyens pour sauver les vies.
Ma fille est parfois insoumise et turbulente, mais c’est une bonne professionnelle de la santé et elle ne ment pas sur les besoins pour assurer sa mission. Vous avez choisi de ne pas les écouter, et souvent de les faire frapper et gazer par vos policiers, les mêmes que ma fille et ses collègues essaie de sauver de la mort virale aujourd’hui.
Vous voyez ma fille n’est pas rancunière. Moi si.
Ma nièce est « maman seule » elle est « hôtesse de caisse » elle gagne 900 euros par mois dans le grand magasin des champs. La pitchoune est à son poste de travail depuis le premier jour. De toute façon elle n’a pas le choix, son directeur a indiqué, m’a-t-elle dit, que s’il y avait trop d’absences le magasin fermerait, vous savez chez nous, l’emploi ne se trouve pas en traversant la rue, et quand on a deux enfants, la question du volontariat se pose autrement.
Mais là je suis rassuré, hier soir au dixième jour d’après, le Directeur vient leur donner un masque chirurgical pour 6 heures de travail effectif, elles auront peut-être des gants demain, il y en avait en stock mais tout à été vendu dès le premier jour. Une de ses collègues est morte aujourd’hui. Elle ne pourra pas être rancunière. Moi si.
Ce matin je suis sorti lorsque le camion de ramassage des poubelles passait, j’ai salué les deux agents qui faisaient leur métier, nous nous connaissons bien depuis le temps, j’ai vu dans leur regards l’inquiétude, ils restaient silencieux, les yeux baissés, un d’entre eux me dit de loin que le papa du second avait été tué par le COVID dans son EPHAD, seul.
Il y a quatre jours j’ai vu le facteur qui passait vite, avec son vélo électrique, il n’avait pas de masque, mais en même temps, son directeur lui avait dit qu’il n’en avait pas besoin. Je ne l’ai pas vu depuis…Mais ce sont tous sont des braves gars Mr le Président, ils ne sont pas rancuniers. Moi si.
Ma fille cadette est enseignante, et depuis que vous avez décidé de fermer les écoles, le collèges et les lycées, elle organise les cours à distances, rassure les parents, co-organise l’accueil des enfants des soignants dans les locaux, et tient des permanences physiques pour ceux-ci, c’est beaucoup de travail, mais elle ne se plaint pas, sauf peut-être quand votre porte-parole la traite de fainéante et lui demande d’aller ramasser des fraises dans le Lot et Garonne . Mr le Président je dois vous dire que ma deuxième fille est parfois rancunière, Moi aussi.
Quant aux fraises dans le Lot et Garonne, ne comptez pas sur moi non plus Mr Le Président, pas parce que je n’aurais pas de respect pour les agriculteurs en question, mais parce qu’il fut une époque où mon grand-père saisonnier de son état se louait aux propriétaires fraisiers des environs et cela faisait « la paye de la saison » comme il disait.
Et puis un jour, on l’a renvoyé chez lui, parce que d’autres êtres humains avaient été recrutés pour moins cher par le propriétaire fraisier, comme des milliers d’autres il est rentré chez lui le « béret bas » et sans le « sou » à mettre sur le bahut de la cuisine. Mon Grand-père n’en voulait pas à ces « autres » mais à celui qui pour gagner plus, avait fait venir de nouveaux bras qui avaient eux, et leurs familles aussi besoin de manger.
Mon grand Père ne leur en voulait pas parce que chez nous, lorsque quelqu’un a faim on ne regarde jamais la couleur de son ventre, il y a toujours une assiette en trop à table au cas où…. Alors aujourd’hui, il faudrait parce que on nous dit de le faire, et aller suer chez les petits enfants des mêmes propriétaires qui ont tués la main d’ouvre locale pour grossir leurs marges ?
Comme on dit « il peut pleuvoir de la merde ! ».
Vous allez me dire que je suis rancunier. C’est vrai.
Chez nous on dit que « d’un âne on n’en fera jamais un cheval de course… » Soyez rassuré vous n’êtes pour moi ni l’un ni l’autre, quant à la bande de zozo-boutonneux et de techno-punks qui vous accompagnent , ma mère aimait à dire des incapables « c’est quand ils voient des couilles qu’ils disent que c’est un mâle », mais en même temps, elle était un peu rancunière, et en bonne fille de la campagne savait que les brouettes ne sont bonnes qu’à être poussées comme vous, dehors.
Ne croyez pas Monsieur le Président à notre considération et à notre confiance ni dans cette période, ni dans celle du jour d'après.
Vous avez assassiné des journalistes et des policiers et aussi des personnes qui n'avaient rien à voir dans tout sa au nom de rien, vous avez cru nous faire peur et vous avez perdu. Bien sûr nous avons les larmes au yeux et nous pensons à ces familles que vous avez détruites. Nous pleurons nos morts, nos amis inconnues qui étaient si proches de nous sans que nous les ayons connus. Ils étaient nous, notre liberté, portée aujourd'hui et demain contre l'intolérance et l'obscurentisme. Et vous avez perdu !!!!
Parce que notre liberté est vivante éternelle, qu'elle est en nous. Nous n'écouterons pas les messages de haine ou de vengeance parce que ce n'est pas l'esprit de charlie hebdo. Nous sommes charlie, avec notre droit au rire, à la dérision notre droit de vivre debout plutôt que mourir à genoux disait charb. Vous avez perdu !!!!
Vous avez perdu et vous perdrez toujours, comme l'histoire nous le dit. L'esprit gagne toujours sur la haine, l'esprit de charlie qui est liberté, notre liberté. Vous n'aurez jamais à détruire ce bien le plus cher que nous aimons par dessus tout. Vous pouvez bondire vos armes et faire couler le sang, tenter de créer un climat de haine enfource, tenter de nous dresser les uns contre les autres, vous perdrez, à chaque fois. Vous avez perdu !!!!
Dès l'instant où vous avez abandonné votre esprit pour devenir assassins, vous avez perdu et vous perdrez toujours. Dès ce soir, partout en france, des femmes et des hommes épris de liberté vons vous répondre, pacifiquement sans haine, sans peur. Nous serons des milliers et vous n'êtes rien. Nous sommes sans arme les combattants de la liberté, de la liberté d'expression, de la liberté de la presse. Nous sommes des milliers, nous sommes charlie hebdo. Et vous perdrez toujours contre nous.
Vous avez perdu !!!
Parce que vous pensez tuer un journal est maintenant la france toute entière, debout et digne. Unie et libre. Et derrière cette france, il y a un monde épris, lui aussi de liberté, des jeunes filles qui veulent aller à l'école, d'enfants qui veulent chanter, d'hommes et de femmes qui s'aiment nous sommes des milliers et chacun porte maintenant en lui charb, cabu, tignou, bernard maris, wolinsky, vivants, rieurs et blagueurs. Vous avez perdu et vous perdrez toujours !!!!!!!!!!!!
Pourquoi vivre sur terre et s'entretuer pour des croyances différentes, pour un dieu, pour un prophète, pour un gourou ou un maître spirituel, je crois en dieu car c'est mon choix, peut-être suis-je bête de croire en lui, je crois à un dieu d'amour et de bonté, peut-être que je suis folle de croire en ça. Qui sait, mais dites-moi quel mal y a-t-il de croire en ça, à un être irréel, peut-être imaginaire, mais qui peut prouver qu'il n'est pas, un autre croit à son prophète et c'est son droit, quel mal y a-t-il à ça, la seule chose qui soit concrète c'est que nous sommes tous frères, nous vivons tous avec du sang pour nous faire vivre, des jambes pour marcher, des bras pour enserrer, une bouche pour parler ou manger mais surtout un coeur pour aimer, alors dites-moi pourquoi ne pas s'aimer, ne pas vouloir partager l'air qu'on respire, pourquoi critiquer la couleur d'une peau, un accent ou des propos, pourquoi se rendre la vie infernale alors qu'on peut se tenir la main, chacun peut cultiver son jardin en intégrant l'amour, la solidarité, la tolérance, le mélange des races et des religions, des cultures, des croyances, des langues et des couleurs, c'est la seule chose qui compte vraiment sur cette terre, faire de nos différences un champ d'amour avec ces dieux, prophites ou autres, ou même sans croyances particulière. Athée ou agnostiques la vie peut-être belle à qui veut sans donner la peine, alors ne jetais pas l'approbe sur une race, une religion, aucun dieu ou autre ne prône la violence ce sont les hommes qui tiennent les armes, qui jettent les bombes, ce sont les hommes qui tuent, qui violent, pas ce dieu ou cet autre auquel tout un chacun a le droit de croire en un dieu ou cet autre auquel tout un chacun a le droit de croire tant qu'il croit en un dieu, un prophète, ou un maître bon, soyons tous frères et donnons-nous la main car cette vie se vit maintenant et il est si bon de vivre bien aimons-nous vivant, vivre en nous aimant, que l'on soit catholique, protestants, musulmans, agnostiques ou autres, donnons-nous la main soyons enfin humains !!!!!!!!!!
Les sans-abris n'ont pas besoin d'une pensée spéciale. En ce temps de noël, il circule beaucoup sur le net des images du genre "Ayez une pensée spéciale pour les sans-abris qui sont dans le froid. Partagez sur votre center."
On trouve le même genre de truc pour les malades, les handicapés, les vieillards, les gens qui sont seuls. Une pensée spéciale et tout le monde partage, évidemment. Bien sûr, cela part d'un bel élan. Un élan du coeur. Un grand mouvement intérieur pourtant, il faut revenir sur terre.
Partagez sur center, ça veut aussi parfois dire qu'on se fait croire qu'on a fait quelque chose d'important alors qu'on est qu'un voyeur-consommateurs-utilisateurs. Ce n'est pas d'une pensée spéciale dont les sans-abris ont besoin. C'est de couvertures chaudes et d'endroits pour dormir et manger. Parce que les sans-abris, ce ne sont pas des personnes de villages virtuels. C'est de vrai monde, ce n'est pas d'une pensée spéciale dont les malades ont besoin. C'est d'être accompagnés et compris dans leur maladie et encouragés par la présences des gens qui les aiment, parce que les malades, c'est des gens en chair et en os qui souffrent et qui s'inquiètent.
Ce n'est pas d'une pensée spéciale dont les vieillards ont besoin. C'est d'être invités dans leur famille pour noël et d'être visités dans leur maison de retraite. Parce que les vieillards, ce n'est pas un concept sur le net. Ce sont des vraies personnes qui ont vécu une vraie vie et qui n'ont plus que vous parce que leurs amis sont tous morts.
Ce n'est pas d'une pensée spéciale dont les handicapés ont besoin. C'est qu'on leur laisse leur place de parking, qu'on les comprenne, qu'on les aide.Parce que les handicapés, c'est des personnes qui ont vraiment de la difficultés à voir, à marcher, à aller où ils veulent. Parce que les handicapés, ils vont dans des vrais endroits et ont besoin de vrais accès. Ce n'est pas d'une pensée spéciale dont les gens seuls c'est d'avoir des gens qui les visites, qui les invites qui ne les laissent pas seuls. Parce que des gens seuls, ce ne sont pas des images sur le net. Ce sont des vraies personnes qui se demandent s'ils ont été oubliés quelque part. Des gens qui se disent parfois : Si je meurs aujourd'hui va-t-on ne me découvrir que dans trois mois ?
Les pensées spéciales n'ont jamais rien changé concrêtement à la vie des gens qui sont aux prises avec des problèmes. Parce que ce sont de vrais problèmes qui demeurent de vraies solutions si vous voulez aider les sans-abris, accompagnés votre pensée spéciale d'un geste bien concret. Quelque chose qui change pour de vrai. Une pensée spéciale, c'est la même chose que l'intention de téléphoner à un ami. ça ne vous trompez pas. Lorsqu'il vous appellera après trois mois de silence et que vous lui répondrez : J'allais justement t'appeler, il n'y a que vous qui y croirez. Oui, vous pouvez partager ce texte. Mais s'il-vous-plait, ne partagez rien si vos bottinnes ne suivront pas vos bobinnes ? Parce que les pensées spéciales ça n'a jamais rien changé pour vrai !!!!!!!!!!!!
Assis sur le trottoir un carton sur le sol, des baskets bien noires, voilà son horizon.
Un SDF se lamante il a faim, il a froid une pièce il demande et un sourire, quelquefois une main tendue, un regard gentil des gestes attendues dans le noir de sa vie.
Un SDF a faim de nourriture et d'un peu d'amour de quelques bonjours pour calmer ses blessures. Assis sur le sol il espère une âme charitable qui lui embellît ses nuits mais lui rappelle sa triste vie. Demain qui sait, peut-être un mécéne, un mentor saura faire renaître l'espoir qui est en lui qui dort. Assis sur un vieux carton un SDF tend la main, il quémande une boisson espère un geste de main, un regard de compassion !!!!!!!!!
On en parle souvent. Des femmes et des enfants battus, maltraités, mais il existe aussi l'autre côté. Des femmes qui battent leurs maris. Oui, ne souriez pas, malheureusement ça existe aussi. Tout comme des enfants qui terrorisent leurs parents. De ce côté-là on en parle pas ou moins, pourtant il est là. Peu importe qui maltraite l'autre. Il n'y a rien de plus terrible que la violence dans les foyers. Cette violence qui peut être physique mais aussi psychique. Cette peur qui vous enveloppe et vous poursuit. Les sursauts au moindre bruit, l'angoiss qui vous coule dans le dos lorsque la clé tourne dans la serrure. N'osez-vous en dormir. Cette douleur de votre corps qui devient presque une habitude. Mais le pire c'est ce gouffre qui s'ouvre sous vos pieds, cette impression de tomber dans le vide. On s'accroche, on résiste pour ne pas devenir fou. Oui, la violence dans les foyers c'est tout ça et bien plus. De dehors, tout a l'air normal mais dès que la porte se referme, c'est l'enfer qui recommencent. Il se peut que quelqu'un dans votre entourage, vive dans une telle situation sans que vous vous en rendiez compte. Alors essayez de regarder derrière la façade, essayez de reconnaître les signes d'une maltraitance. Des fois il ne suffit aussi que d'écouter, de deviner les mots caché, le non-dit. Alors soyez attentif car vous pourriez sauver une vie !!!!!!!!!!!!!!!!!
Tu me dégoûte, putain encore une fois je t'ai fait passer pour la victime. Alors que dans l'histoire, c'était toi le connard. T'as gâché tellement de choses, sans assumer en rejetant la faute sur les autres. T'as fais l'hypocrite avec moi, avec tout le monde. Et quand je me doutait pas une seconde que tu faisais exactement la même chose. Tu disais genre de pas savoir, ce qu'il se passe, d'en être désolé alors que tout ça c'est calculé, c'est ta faute, uniquement et entièrement ta faute et tu le sais. Tu mens, tu fais ça à toutes les meufs parce que tu te crois beau, puissant, irrésistible. Alors que ce n'est pas le cas, t'es peut-être pas laid, mais t'es con. Mec, je suis pas la seule à m'en rendre compte, je suis pas la seule à voir que t'as changé d'une façon horrible. J'aurais tout fais pour t'épargner, mais sache qu'aujourd'hui, je vais en rajouter. !!!!!!!!!!!!!!!!!!
Je sais tout, depuis ce fameux soir d'été, tout c'est chamboulé. Je ne crois plus en toi, c'est fini. Tu ne sais pas que je suis au courant alors tu me le fais remarqué. Seulement un jour ou l'autre tu vas finir par savoir ce dont je suis au courant. De tout oh oui, de tout, je pense tout savoir. Je ne te vois et je ne te verrais plus jamais de la même façon. Tu es un traîte, qui ne pense qu'à ta petite personne tu ne réfléchis jamais, oh non, tu es en tord et que j'ai raison je me fais un de ces plaisir. J'en ai mare de tout ce charabia de tout ces mensonges. Tu essaye de t'arrangé le coup, mais cela me changera rien à tout cela, à ma façon de te voir désormais. Si seulement je n'étais que dans un rêve, un rêve, dit CAUCHEMAR. Ou bien que cela est impossible et irréallisable. Aujourd'hui quelqu'un partage ma vie et je sais que je pourrais compté sur lui quoi qu'il arrive, je l'aime et je ne veux pas le perdre et tu n'y changera rien. Chacun de mes amis arrivent à me faire oublier tout cela, mais je cache tout de même mes sentiments et le soir je replonge. De tout de façon, tout revient un jour ou l'autre. Je ne peux pas dire que je te haïe, ce serait irrespectueux mais je ne t'aime plus de la même façon qu'avant !!!!!!!!!
Vous savez se que c'est "l'automutilation" ? Certains diront, que c'est inutile, d'autres diront qu'on fait ça pour que les gens prête attention à nous, mais non ni l'un, ni l'autre. On ne fait pas ça, pour que les gens s'intéressent à nous, on fait ça, car on n'en a marre ! On fait ça pour ne pas partir, pour rester en vie, où on fait ça pour nous empêcher de quitter le monde, quitter nos amis, ou notre famille... La lame frôle notre peau, pour l'instant on ne ressent rien, puis on l'entre, on avance, on frappe sur notre peau, ce coup-ci elle s'enfonce en nous, la douleur est présente, mais pas aussi douloureuse que celle qui en nous. On cris, on pleure. Dans ce monde, on se sent à l'étroit, on se sent posséder par la haine et la souffrance. Les larmes et le sang, font maintenant partit de notre vie, le cauchemar que l'on vit éveiller. On ne peut en sortir, car il est beaucoup trop tard pour ça. ça aurait pu nous aider, mais sa nous à enfoncer, on s'en rend compte. Quand on commence à saigner et à pleurer.
Savez-vous qu'elles sont nos idées noires ? Elles sont en nous, et on y pense chaque soir, quand nos coeurs souffrent, et qu'on va mal. On se taille les bras pour nous calmer. Avoir du répit. C'est mal, on le sait, mais quand on voit notre sang coulé, on s'apaise et là on peut allait nous désinfecter.
C'est dur de ne pas être assez forte, surtout en moral, on pense à nos familles, mais rien y fait, on a besoin de se faire mal.
Nos idées noires sont tout simplement, notre tristesse, notre désespoir. Et quand on ne voit pas le bout du travail, on fait cette chose horrible, l'automutilation. On sait qu'on peut en mourir. On aimerait être plus forte, manque de volonté ? On ne sait pas. On veut juste trouver la paix dans ce monde, qui ne veut pas de nous. Si seulement nous pouvons nous retenir, mais nous n'avons pas la force de lutter contre nos idées noires, elles seront toujours là, même si on garde encore espoirs !!!!!!!!!!!!!!